Sans plus attendre, tirez profit de la loi Scellier :
Immobilier : le haut de gamme ne connaît pas la crise
08/03/2011
Les demeures de luxe
Facebook Google Buzz
La période de crise que nous venons de traverser a bien sûr touché au marché immobilier. Pourtant la demande de biens de luxe semble ne pas avoir subi de ralentissement. Les belles demeures haut de gamme continuent de trouver facilement des acquéreurs, notamment quand le prix de vente correspond à une estimation correcte de la valeur réelle du bien.
En effet, il existe plusieurs cas où ce type de logements est surestimé par le propriétaire, qui impose aux régies immobilières un prix de vente hors marché. Cela augmente la durée de la phase de négociation et les parties finissent souvent par s’accorder sur un prix bien plus bas que celui du départ. Cette différence peut atteindre jusqu’à 20% du prix global, d’où l’importance, pour les agences, de vérifier la correspondance entre le prix figurant sur le mandat de vente et la valeur effective du bien, avant de se charger de la gestion du bien à vendre.
Les agences Daniel Féau ont divisé les biens de luxe en trois grands groupes : les transactions allant de 2 à 4 millions d’euros, dites « bel haussmannien », le « standard international » allant de 4 à 6 millions d’euros, et les « biens exceptionnels » dont la valeur dépasse les 6 millions d’euros. Encore une fois, les étrangers sont les protagonistes du marché de l’immobilier haut de gamme. Bien que parmi leurs critères de choix figure sans aucun doute l’état de l’immeuble, ils sont prêts à négocier le prix au cas où des travaux de rénovation soient nécessaires. En plus, l’attention de l’acheteur étranger se focalise principalement sur des demeures rares et bien situées, dans le centre ville ainsi que dans les plus beaux coins de France, comme les Alpes Maritimes ou la Côte d’Azur.
Facebook Google Buzz